Le service correctionnel nigérian révèle que les organes masculins de Bobrisky sont intacts après inspection
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Le service correctionnel nigérian (NCoS) a confirmé que l'organe sexuel du travesti Bobrisky est toujours intact, selon un rapport de Punch. Le fonctionnaire a révélé le résultat de l'examen après l'admission de Bobrisky au service correctionnel.
Un haut responsable du centre de détention d'Ikoyi a révélé que Bobrisky avait été condamné à 6 mois de prison et avait été examiné lors de son admission au centre.
Selon l'examen, Bobrisky n'a subi aucun réalignement de son sexe ni aucune modification de ses organes masculins, comme le prétendait Bobrisky. Le responsable a révélé,
« Bobrisky a déclaré publiquement qu'il était un homme et les procédures judiciaires sont des archives publiques. Chaque détenu amené dans un établissement lors de son admission est examiné. Il a également été examiné et aucun réalignement de sexe ou d'organe génital n'a été découvert. Les caractéristiques biologiques masculines étaient les mêmes.
« Après cela, une cellule lui a été attribuée et il avait avec lui un certain nombre de détenus. Un espace lit lui a également été attribué. C’est comme une pension où votre maître de maison vous remettra vos effets personnels.

Il a été ajouté que Bobrisky observe les règles comme tout le monde :
« Quand vient l’heure du cours, il y assiste. Quand vient l’heure de manger, il ira chercher sa part. Il en va de même pour la préparation et l’éclairage. Il observe tout cela sans préférence. Il vaque à ses occupations comme les autres détenus depuis son arrivée ici.
Le responsable a précisé que Bobrisky était protégé contre les abus de ses codétenus. Le responsable a ajouté : « Il ne bénéficie d’aucun traitement cinq étoiles et n’est protégé de personne. Il suit les mêmes règles et règlements que tous les autres détenus. Les cellules individuelles des cellules d'isolement sont destinées à prévenir les épidémies de maladies transmissibles.
Dans une prison pour hommes, l'homosexualité est interdite et constitue un délit grave. La sodomie ou l'homosexualité, c'est mal vu ici au centre de détention. Ainsi, tout détenu qui tente de le violer sera traduit en justice.
